Si le terme start-up a intégré le langage courant, en France notamment, assez récemment, il est utilisé depuis longtemps aux États-Unis et notamment depuis les années 20, quand de multiples entrepreneurs profitèrent des progrès technologiques pour lancer leur propre station de radio. Signifiant littéralement « société qui démarre », le terme start-up désigne donc largement une entreprise naissante et reste rattaché encore de nos jours plus que jamais aux nouvelles technologies. C’est pour cette raison qu’on parle souvent de start-up dans l’histoire de la Silicon Valley en Californie, où sont implantés les géants que sont Apple, Facebook, Google, Hewlett-Packard ou encore Electronic Arts. Cela dit, tous les ans dans le monde émergent des centaines de start-up. Des sociétés nées d’une idée, qu’il convient de développer correctement. Et pour encourager la croissance d’une start-up, il n’y a pas de secret, il faut de l’argent. Pas seulement mais c’est important. L’argent venant d’une levée de fonds et donc d’investisseurs qui, encouragés par la teneur d’un projet et le côté appétant d’un business plan, vont décider d’investir dans une start-up…

Lean Start-up : une structure à part

La start-up n’est pas une entreprise comme les autres. Il s’agit en cela d’une entreprise jeune, ayant au moins reçu un apport financier de la part d’un capital-risque, qui a pour caractéristique, aujourd’hui, d’appartenir à un secteur innovant. Et ce pour la simple et bonne raison que les structures susceptibles de « mettre » de l’argent sur la table pour aider les start-up vont en priorité s’intéresser aux idées innovantes capables éventuellement de changer la donne. Parfois réduite à une « petite entreprise », la start-up est donc bien plus que cela. Une société qui s’expose à des risques bien spécifiques. Les entrepreneurs qui se lancent pouvant adopter plusieurs méthodes comme le Lean Start Up, qui va permettre à leur structure de maximiser l’efficacité de leur apprentissage pour proposer le meilleur service/produit dans des délais si possible réduits, à partir d’un investissement minimal.

Quels sont les pré-requis pour investir dans une start-up

Les start-up ont donc besoin d’argent pour croître et pour avancer. Pour cela, après avoir développé une idée, ces dernières vont organiser une levée de fonds. Séduire de potentiels investisseurs à partir d’un solide business plan expliquant, entre autres points, les objectifs de la structure, exposant ses bases et démontrant de manière efficace mais néanmoins détaillée, sa volonté. Si vous désirez par exemple investir de l’argent dans une start-up, il va donc non seulement falloir vous intéresser au concept que cette dernière porte, mais vérifier également que la démarche est solide. Comment ? Grâce au business plan, qui s’impose comme la véritable carte de visite d’une société naissante. Car si les bonnes idées peuvent être nombreuses et donc tentantes pour quiconque désire mettre des billes sur un projet, les intentions qui se cachent derrière doivent prendre forme de manière à inspirer la confiance à celui ou celle qui va investir.

Investir dans une start-up : miser sur l’accompagnement

Si l’inconscient collectif se nourrit d’histoires transformées en légendes de jeunes entrepreneurs américains qui ont réussi à bâtir un empire depuis leur garage, à la seule force de leur persévérance et de leur intelligence, la réalité est beaucoup moins glamour. Il faut comprendre par là que pour croître, surtout maintenant, compte tenu de la concurrence, ô combien féroce, une start-up a besoin d’un bon accompagnement. Rainmakers répond ainsi à un réel besoin des entrepreneurs et leur permet de construire brique après brique leur société, pour mobiliser leurs savoir-faire et ainsi séduire les investisseurs grâce à un business plan travaillé.

Leveurs de fonds en France , les consultants Rainmakers accompagnent les Start-Up avant, pendant et après leurs levées de fonds. Nous intervenons à Lyon, Grenoble, St Etienne, Paris, Toulouse, en seed et série A.