Une startup naissante a plusieurs besoins : des besoins humains et financiers. Car c’est bien connu, l’argent est le nerf de la guerre. Quand une startup commence son activité, elle peut faire appel au capital risque pour se financer. Le capital risque au sein duquel on retrouve le capital d’amorçage. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Est-il inscrit dans le cadre de la levée de fonds ? Concerne-t-il les investisseurs ? Dans quelle mesure le capital d’amorçage participe au financement d’un projet ? 

Rainmakers, le spécialiste de la levée de fonds, accompagne les startups en création ou en croissance. Un partenaire parfait pour optimiser le succès de votre levée de fonds, dans des conditions optimales. 

Introduction au capital d’amorçage 

On appelle capitale d’amorçage le premier apport en argent (ou capital) d’une jeune entreprise ou startup. Bien souvent, le capital d’amorçage consiste à injecter dans l’activité des fonds propres. Cet argent peut par exemple servir à fabriquer un prototype afin de le tester. Le capital d’amorçage contraint les jeunes entrepreneurs à puiser dans leur cagnotte personnelle ou à faire appel au financement public. En soi, le capital d’amorçage donne la première impulsion qui peut transformer une idée ou un concept en entreprise. 

Le capital d’amorçage : une affaire d’associés 

Quand plusieurs personnes sont impliquées dans la création d’une startup, le capital d’amorçage fédère toutes les parties. Tous les associés peuvent ainsi injecter des fonds dans le projet pour l’aider à se développer ou du moins pour favoriser la fameuse impulsion de départ. Dans tous les cas, un minimum d’apport est indispensable pour permettre à l’idée de devenir une entreprise et de trouver d’autres sources de financement. Il est par exemple aussi possible de contracter un emprunt bancaire. À noter que bien souvent, les banques demandent un apport qui peut correspondre généralement à 20% de la somme demandée. 

Le capital d’amorçage : le premier pas vers la levée de fonds 

Si le capital d’amorçage implique que les personnes à l’origine de la startup s’investissent financièrement, la suite consiste à trouver des investisseurs enclins à injecter des sommes plus conséquentes. C’est à ce moment-là que commence la levée de fonds

La levée de fonds consiste donc à séduire de potentiels investisseurs qui seront susceptibles d’aider la startup à grandir. Il est donc nécessaire d’établir un pitch concis et efficace dans lequel seront exposés les enjeux et les objectifs de la startup. Le défi de cette étape consiste à se démarquer de la concurrence pour convaincre les investisseurs du bien-fondé d’une démarche précise. C’est également à ce moment-là que les entrepreneurs doivent soigner un aspect essentiel : le business plan. 

Capital d’amorçage : les autres options 

Il est aussi intéressant de mentionner les business angels. De quoi s’agit-il ? Les business angels sont des personnes physiques qui peuvent investir une partie de leur patrimoine au capital de startups ou d’entreprises à fort potentiel. Les business angels peuvent également fournir des compétences et l’accès à un réseau. Il existe en France plusieurs milliers de business angels reconnus, qu’il est possible de contacter pour présenter des projets et tenter de les convaincre d’investir. 

Les fonds d’amorçage représentent une autre alternative. Il s’agit de fonds de capital-risque qui se spécialisent dans l’amorçage et qui vont venir investir dans des projets nouveaux. À noter que les fonds d’amorçage ont généralement des exigences de rentabilité plus élevées que les business angels. 
Afin de réussir une levée de fonds et donner à une startup les meilleures chances de réussir, rien ne vaut un bon accompagnement. Spécialiste de la levée de fonds des startups, Rainmakers est votre partenaire privilégié.

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